Histoire du SorelTracy Magazine 

À la suite d'un tournant important dans la vie de Jean Doyon, à la fin du siècle dernier, et fortement influencé par un « Réveillez-vous ! » qu'avait lancé aux sorelois, le député Sylvain Simard, lors d'un discours à un Gala du Mérite Économique, l'idée de s'impliquer dans sa communauté d'une façon plus marquée lui trotta dans la tête pendant presqu'un an.   

Passionné par les médias dès l'âge de 12 ans, Doyon a plutôt fait du sport dans sa jeunesse, et fut musicien à temps plein pendant plus d’une bonne vingtaine d'années.  Au milieu des années 80, et parallèlement à la musique, alors qu'il habite Montréal, Jean Doyon découvre l'informatique lorsqu'il est à l'emploi d'Hypocrat, l'un des plus importants fabricants de logiciels médicaux et pharmaceutiques du Québec.  Il est formé par les techniciens en place et développe une passion sans bornes pour l'informatique. 

À la fin des années 90, il délaisse la technique de l'informatique et passe de derrière à devant l'ordinateur.  Il explore toutes les possibilités qu'offre un ordinateur et décide de fonder un médium qui parlera de la région à sa manière, à travers une façon différente de voir les choses, mais surtout afin d'encourager la jeunesse, dans ses loisirs, ses activités et ses sports. 

Le SorelTracy Magazine (STM) prit donc naissance le premier janvier 2000 à minuit.  Connaissant des débuts plutôt modestes, les pages étaient plutôt meublées de résultats sportifs, de critiques de disques et de couverture de spectacles.  Le temps de se faire connaître et le temps aussi d'acquérir une certaine crédibilité, le (STM) commençait à recevoir des invitations à de plus en plus de points, et de conférences de presse. 

Jean Doyon a vite compris qu'il fallait produire ses propres photos, dans le milieu des médias écrits, et c'est grâce à ses images qui lui a permis d'obtenir une belle collaboration avec, en premier le Journal La Voix (de la journaliste Hélène Goulet), puis le Journal Les 2 rives (des journalistes Patrick Turgeon et Louise Grégoire-Racicot), avec qui il fondait les bases d'une belle collaboration et d'échange de bons procédé.  À la radio de CJSO fm, c'est Yanick Lévesque qui amena « le grand Jean » à une collaboration à des chroniques sportives, en particulier avec les « Royaux de Sorel », équipe de hockey Semipro à l'époque, qui s'est poursuivis avec le Mission de Sorel-Tracy. 

En 2003, le STM prit son envol avec près de 5000 pages lues par jour, touchant à toute l'actualité du Bas-Richelieu, devenant même un affilié de la portion Internet des nouvelles de  Radio-Canada.  Cependant, il doit dire un grand merci à l'implantation de sa chronique « Nécrologie », très dynamique, qui a drainé un achalandage important. 

Aujourd'hui en 2008, (et près de 10 000 pages lues par jour), le SorelTracy Magazine reçoit des communiqués et des invitations de presque tous les organismes, producteurs de spectacles, d'organisations politiques, d'entreprises socio-économiques, en passant par l'agriculture et bien sûr le sport, de la scène régionale, nationale et internationale.  Impliqué dans plusieurs milieux, Le SorelTracy Magazine poursuit sa route, cherchant à explorer de nouveaux horizons, et avec le désir de sans cesse vouloir se surpasser.

Jean Doyon
Les productions Kapricom